Deux postes en arabe à la deuxième session des concours du second degré de l'enseignement public 2013 (appelée également concours « 2013-2 » ou 2014 anticipés).
Arrêté publié au JO du jeudi 25 avril 2013.
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
Association non confessionnelle fondée en 1973 pour défendre les intérêts professionnels, moraux et matériels de ses membres, et travailler à la promotion des études arabes.
Collège de France, 52, rue du cardinal Lemoine - 75005 Paris, France
Statuts de l'association
Adhérer à l'AFDA
Contact: afda33@gmail.com
vendredi 26 avril 2013
vendredi 19 avril 2013
"Pouvoir(s) rire" pendant la semaine arabe de l'ENS "Rire à l'heure arabe" - lundi 22 avril et mardi 23 avril
Pouvoir(s) rire
Dans le cadre de la semaine arabe de l’ENS « Rire à l’heure arabe » et de l’Atelier d’Anthropologie du Monde arabe de l’EHESS/CHSIM.
Lundi 22 Avril 2013
Salle des conférences (rez-de-chaussée), de 9h à 13h,
Salle 513 (5ème étage), de 14h à 18h,
46 rue d’Ulm (bâtiment en face du 45)
75005 Paris.
· 09h00 : Accueil et introduction de la journée doctorale par Dominique Casajus, directeur du CHSIM.
Intervention inaugurale :
09h15 : Lisa Wedeen, professeur en sciences politiques – Université de Chicago :
Ideology and Humor in Dark Times: Notes from Syria.
Présidente de séance : Béatrice Garapon, doctorante en histoire – EHESS/ENS.
Axe 1 : Les marges du rire : réalités parallèles
Comment les pratiques du rire se constituent-elles en points de dépassement des codes et perceptions communs?
· 11h : Danilo Marino, Doctorant en études arabes et islamiques – INALCO/Université de Naples "L'Orientale" :
Haschich et littérature humoristique dans l'Egypte Mamelouke.
Au travers de manuscrits classiques de l’Egypte mamelouke, il s’agit d’explorer les implications sur le plan littéraire et politico-social du lien entre le haschich et le rire, mettant en question la cohérence même du réel.
· 11h40 : Vincent Planel, doctorant en anthropologie – EHESS/ENS :
Les blagues les plus courtes sont les moins longues : une enquête au Yémen.
Se laisser entraîner sur le terrain de l'humour, pour se laisser entraîner dans l'enquête, mais jusqu'à quel point? Pour appréhender combien la société yéménite fonctionne au paradoxe, l'ethnographe ne peut faire l'économie d'une conversion épistémologique profonde, qui permet d'envisager autrement la temporalité du moment révolutionnaire yéménite.
· 12h20 : Laurianne Passerieux, M2 en Genre, politique et sexualités – EHESS : Humour et ambivalence de la relation d’enquête : enjeux de genre et enjeux réflexifs à partir d’une enquête menée auprès de jeunes hommes cairotes.
Dans le cadre de l’enquête et des entretiens ethnographiques, l’humour constitue une voie pratique pour désamorcer les tensions et incompréhensions entre les acteurs et leurs perspectives respectives.
Présidente de séance : Nadia Tarhouni, diplôme – EHESS.
Après midi
Axe 2 : La prise de parole par l'humour
Comment des populations marginalisées peuvent-elles accéder à l'expression publique par le détour de l'humour?
· 14h : Zina Icheboudene, doctorante laboratoire ELLIADD - Uté de Franche-Comté :
Quand le tragique devient comique : une analyse des caricatures autour du phénomène de harraga.
Phénomène tabou propre à une jeunesse marquée par le pessimisme et le désir d’émigrer, le harraga fera l’objet d’une analyse sémiotique à partir de caricatures de presse algériennes et de leur traitement comique.
· 14h40 : Diletta Guidi, assistance diplomée en science des religions – Université de Fribourg/ doctorante GSRL-EPHE :
Les nouveaux « genres » du rire. Du one woman show au one muslim woman show : l’essor de l’humour voilé.
Avec le tournant des années 2000 et l’apparition d’un Muslim Humour, la pratique comique des femmes voilées et les mécanismes identitaires qu’elle implique interrogent le rapport entre rire et contexte socio-médiatique.
Présidente de séance : Lorraine Guénée – M1 en sociologie – EHESS.
Axe 3 : Rires en transition face aux révolutions
Quelle temporalité adoptent les nouvelles formes et pratiques du rire issu des bouleversements révolutionnaires?
· 15h40 : Zoé Carle, doctorante en littérature comparée– Université Paris 3 :
Au carnaval de la révolution égyptienne : les pancartes pendant les 18 jours.
Contrastant avec le sérieux et l’émotion des slogans scandés dans la rue, les pancartes des militants, entre désacralisation et autodérision, ont usé à l’envi des pouvoirs de dissolution du rire.
· 16h20 : Samah Aouaitia, M1 en LLSCE arabe – Université Paris 3 :
Trois générations d'humoristes égyptiens : Bassem Youssef, Nawwara Negm et Galal Amer.
Au travers de l’étude comparative et diachronique de ces trois grandes figures humoristiques égyptiennes, nous suivrons les inflexions du débat public national.
· 17h : Nadia Tarhouni, diplôme – EHESS :
Le rire militant tunisien avant et après le 14 janvier 2011 : révolution politique, évolution humoristique ?
Avec la révolution tunisienne, la scène militante n’aura pas manqué de mobiliser une forte dimension comique ; à ce titre le 14 janvier 2011 constitue aussi un tournant en termes de rapport à l’humour pour l’ensemble de la société tunisienne.
Président de séance : Michaël Morera – M2 en anthropologie – EHESS/ENS.
· 17h40 : Synthèse et conclusion par Dominique Casajus, directeur du CHSIM.
Mardi 23 avril
Salle M. et D. Lombard,
96 boulevard Raspail 75006 Paris.
· 10h00 : Compte-rendu critique de la journée du 22 avril par Nassima Mekaoui – M2 en histoire – EHESS :
Les polysémies du pouvoir(s) rire au service de l'anthropologie : décalages subversifs, détours réflexifs et conversions des regards dans le monde arabe.
· 11h30 : Intervention de Slim, caricaturiste algérien.
Organisation : Fatma Agoun, Malek Issad, Béatrice Garapon, Lorraine Guénée, Nassima Mekaoui, Michaël Morera, Juan Carlos Pallardel, Lauriane Passerieux, Déborah Perez, Nadia Tarhouni.
mercredi 10 avril 2013
Une pétition de l'Association de Développement et d'Enseignement de l'Allemand en France: cela concerne aussi l'arabe
Chères amies, chers amis,
l'ADEAF est à l'origine de la pétition en ligne suivante que nous vous
encourageons à signer et à faire signer en ligne autour de vous :
http://www.petitionpublique.fr /?pi=P2013N38649
TEXTE DE LA PETITION
Des menaces sérieuses pèsent sur l’offre des langues aux concours d’entrée
des grandes écoles, des décisions lourdes de conséquences semblent en passe
d’être prises concernant les cursus post-bac :
1) Nous demandons que l’apprentissage de deux langues vivantes étrangères
soit rendu obligatoire dans la totalité des sections préparant au
baccalauréat, en débouchant sur une épreuve obligatoire.
2) Nous demandons que l’apprentissage de deux langues vivantes étrangères
soit obligatoire dans tous les cursus post-bac.
- Les deux premiers points concernent les baccalauréats généraux,
technologiques et professionnels, les classes préparant aux BTS, les Grandes
Ecoles, et les études universitaires dans leur ensemble, où le français doit
rester la langue d’enseignement de référence.
3) Nous demandons que l’apprentissage de deux langues vivantes étrangères
soit rendu obligatoire dans toutes les classes préparatoires, y compris
scientifiques, et que plusieurs langues soient proposées, y compris en
langue 1, pour tous les concours d'entrée aux grandes écoles et écoles
d'ingénieurs.
- Le troisième point concerne en particulier les Grandes Ecoles
agronomiques et vétérinaires (BCPST) et l'Ecole Spéciale Militaire de
Saint Cyr pour lesquelles il est actuellement question d'imposer l'anglais
comme seule première langue, voire comme seule langue possible, dès la
rentrée 2013.
LES RAISONS DE NOTRE APPEL A SIGNER CETTE PETITION
Personne ne prétendra que l'anglais ne doit pas être appris, mais sa
situation n'a pas besoin d'être renforcée au détriment de toutes les autres
langues vivantes étrangères et du français.
Imposer le « tout-anglais » aux concours, et proposer des cursus entièrement
en anglais sous prétexte d’ouverture internationale, cela signifie à terme
imposer l’anglais comme unique langue de recherche, et se soumettre aux
représentations anglo-américaines du monde en se fermant à d’autres
influences.
Cela favorise ceux qui maîtrisent le mieux l’anglais, qui ne sont pas
forcément les meilleurs dans leur domaine… Et dans un contexte de
compétition internationale des institutions de formation, cela attire
surtout (mais pas seulement) les enseignants ou les étudiants étrangers qui
n’ont pas été pris ailleurs, les meilleurs préfèrent toujours l'original à
la copie… en postulant aux Etats Unis ou au Royaume Uni. Et nous condamnons
également de cette façon nos étudiants à être d'éternels seconds au niveau
mondial.
Aujourd’hui, l'anglais ne suffit plus à faire la différence : c'est de
profils diversifiés dont notre pays a besoin, valorisant les origines de
chacun, s'enrichissant de toutes les individualités linguistiques, en leur
offrant une reconnaissance et un moyen de s'épanouir à tous les niveaux. L’anglais
reste une obligation, mais c’est la maîtrise d’une autre langue qui fait la
différence dans le monde professionnel.
La mondialisation, pour la France, c'est d'abord une Europe plurilingue,
avec laquelle les échanges sont plus denses que jamais et ne cessent de s’intensifier
; la mondialisation, c'est aussi l'opportunité de nouvelles coopérations
avec d’immenses pays, comme la Chine, l'Inde et le Brésil ; enfin, n’oublions
pas la Francophonie : à trop valoriser la seule langue anglaise, c’est la
langue française que nous dévalorisons aux yeux du monde, et la relation que
de nombreux pays entretiennent avec le nôtre par une langue commune !
La mobilité future de nos diplômés, leur efficacité professionnelle, ne
peuvent se faire uniquement grâce à l'anglais, car c'est en s’initiant à
plusieurs langues qu’on fait l’expérience de la diversité des cultures. Dans
les cours de langue vivante, par l’étude de documents authentiques, on
découvre d’autres codes, d’autres rythmes, d’autres références : quelle
meilleure préparation à de réels échanges ? Quelle meilleure assurance de
coopérations fructueuses ? Quel meilleur atout pour conquérir de nouveaux
marchés ?
La réussite repose sur la possibilité d’appréhender le partenaire dans sa
globalité, le contact direct dans la langue de son interlocuteur crée une
qualité relationnelle qui s’avère positive dans tous les domaines.
Alors que nous disposons encore de la ressource suffisante en enseignants,
il faut que notre pays maintienne et développe la pluralité des langues qui
sont offertes dans les cursus préparatoires, dans les concours et les
examens, comme dans toutes les formations dispensées par les écoles
d'ingénieurs, les écoles de commerce et les écoles militaires.
Ne pas proposer plusieurs langues aux concours équivaudrait à nier le
travail effectué dans le secondaire et les acquis souvent très solides des
élèves au sortir de la terminale... et entraînerait à terme la disparition d’une
partie importante de la diversité de ces enseignements en amont.
Pourquoi se priver de telles compétences, quand des double-diplômes, des
cursus intégrés et des universités binationales (franco-allemande,
franco-italienne…) les mettent à profit et prennent alors une réelle valeur
internationale ?
Vous partagez tout ou partie de notre analyse, vous souhaitez exprimer vos
préoccupations face aux évolutions de l’offre linguistique qui semblent se
dessiner, signez la pétition en ligne à l’adresse suivante :
http://www.petitionpublique.fr /?pi=P2013N38649
Bien cordi'allemand,
Frédéric Auria
Président de l'ADEAF
l'ADEAF est à l'origine de la pétition en ligne suivante que nous vous
encourageons à signer et à faire signer en ligne autour de vous :
http://www.petitionpublique.fr
TEXTE DE LA PETITION
Des menaces sérieuses pèsent sur l’offre des langues aux concours d’entrée
des grandes écoles, des décisions lourdes de conséquences semblent en passe
d’être prises concernant les cursus post-bac :
1) Nous demandons que l’apprentissage de deux langues vivantes étrangères
soit rendu obligatoire dans la totalité des sections préparant au
baccalauréat, en débouchant sur une épreuve obligatoire.
2) Nous demandons que l’apprentissage de deux langues vivantes étrangères
soit obligatoire dans tous les cursus post-bac.
- Les deux premiers points concernent les baccalauréats généraux,
technologiques et professionnels, les classes préparant aux BTS, les Grandes
Ecoles, et les études universitaires dans leur ensemble, où le français doit
rester la langue d’enseignement de référence.
3) Nous demandons que l’apprentissage de deux langues vivantes étrangères
soit rendu obligatoire dans toutes les classes préparatoires, y compris
scientifiques, et que plusieurs langues soient proposées, y compris en
langue 1, pour tous les concours d'entrée aux grandes écoles et écoles
d'ingénieurs.
- Le troisième point concerne en particulier les Grandes Ecoles
agronomiques et vétérinaires (BCPST) et l'Ecole Spéciale Militaire de
Saint Cyr pour lesquelles il est actuellement question d'imposer l'anglais
comme seule première langue, voire comme seule langue possible, dès la
rentrée 2013.
LES RAISONS DE NOTRE APPEL A SIGNER CETTE PETITION
Personne ne prétendra que l'anglais ne doit pas être appris, mais sa
situation n'a pas besoin d'être renforcée au détriment de toutes les autres
langues vivantes étrangères et du français.
Imposer le « tout-anglais » aux concours, et proposer des cursus entièrement
en anglais sous prétexte d’ouverture internationale, cela signifie à terme
imposer l’anglais comme unique langue de recherche, et se soumettre aux
représentations anglo-américaines du monde en se fermant à d’autres
influences.
Cela favorise ceux qui maîtrisent le mieux l’anglais, qui ne sont pas
forcément les meilleurs dans leur domaine… Et dans un contexte de
compétition internationale des institutions de formation, cela attire
surtout (mais pas seulement) les enseignants ou les étudiants étrangers qui
n’ont pas été pris ailleurs, les meilleurs préfèrent toujours l'original à
la copie… en postulant aux Etats Unis ou au Royaume Uni. Et nous condamnons
également de cette façon nos étudiants à être d'éternels seconds au niveau
mondial.
Aujourd’hui, l'anglais ne suffit plus à faire la différence : c'est de
profils diversifiés dont notre pays a besoin, valorisant les origines de
chacun, s'enrichissant de toutes les individualités linguistiques, en leur
offrant une reconnaissance et un moyen de s'épanouir à tous les niveaux. L’anglais
reste une obligation, mais c’est la maîtrise d’une autre langue qui fait la
différence dans le monde professionnel.
La mondialisation, pour la France, c'est d'abord une Europe plurilingue,
avec laquelle les échanges sont plus denses que jamais et ne cessent de s’intensifier
; la mondialisation, c'est aussi l'opportunité de nouvelles coopérations
avec d’immenses pays, comme la Chine, l'Inde et le Brésil ; enfin, n’oublions
pas la Francophonie : à trop valoriser la seule langue anglaise, c’est la
langue française que nous dévalorisons aux yeux du monde, et la relation que
de nombreux pays entretiennent avec le nôtre par une langue commune !
La mobilité future de nos diplômés, leur efficacité professionnelle, ne
peuvent se faire uniquement grâce à l'anglais, car c'est en s’initiant à
plusieurs langues qu’on fait l’expérience de la diversité des cultures. Dans
les cours de langue vivante, par l’étude de documents authentiques, on
découvre d’autres codes, d’autres rythmes, d’autres références : quelle
meilleure préparation à de réels échanges ? Quelle meilleure assurance de
coopérations fructueuses ? Quel meilleur atout pour conquérir de nouveaux
marchés ?
La réussite repose sur la possibilité d’appréhender le partenaire dans sa
globalité, le contact direct dans la langue de son interlocuteur crée une
qualité relationnelle qui s’avère positive dans tous les domaines.
Alors que nous disposons encore de la ressource suffisante en enseignants,
il faut que notre pays maintienne et développe la pluralité des langues qui
sont offertes dans les cursus préparatoires, dans les concours et les
examens, comme dans toutes les formations dispensées par les écoles
d'ingénieurs, les écoles de commerce et les écoles militaires.
Ne pas proposer plusieurs langues aux concours équivaudrait à nier le
travail effectué dans le secondaire et les acquis souvent très solides des
élèves au sortir de la terminale... et entraînerait à terme la disparition d’une
partie importante de la diversité de ces enseignements en amont.
Pourquoi se priver de telles compétences, quand des double-diplômes, des
cursus intégrés et des universités binationales (franco-allemande,
franco-italienne…) les mettent à profit et prennent alors une réelle valeur
internationale ?
Vous partagez tout ou partie de notre analyse, vous souhaitez exprimer vos
préoccupations face aux évolutions de l’offre linguistique qui semblent se
dessiner, signez la pétition en ligne à l’adresse suivante :
http://www.petitionpublique.fr
Bien cordi'allemand,
Frédéric Auria
Président de l'ADEAF
mardi 9 avril 2013
Communication de François Clément faite lors de la journée d'étude "L'enseignement de l'arabe en France, vu de tous les points de vue"
Chers tous et toutes,
Vous trouverez à présent le lien vers la communication de François Clément (Université de Nantes) "La situation de l'arabe dans l'enseignement supérieur".
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBbEJTTERMYkd0VGc/edit?usp=sharing
Vous trouverez à présent le lien vers la communication de François Clément (Université de Nantes) "La situation de l'arabe dans l'enseignement supérieur".
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBbEJTTERMYkd0VGc/edit?usp=sharing
Communication de Salim Gasti faite à la journée d'étude "L'enseignement de l'arabe en France: vu de tous les points de vue"
Chers tous et toutes,
Vous trouverez ci-jointe la communication faite par Salim Gasti "L’enseignement de l’arabe au collège : registres de langue, hétérogénéité et méthodes", à la journée d'étude "L'enseignement de l'arabe en France: vu de tous les points de vue" le 2 février 2013.
Très cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBVXpGejV2NU1va1U/edit?usp=sharing
Vous trouverez ci-jointe la communication faite par Salim Gasti "L’enseignement de l’arabe au collège : registres de langue, hétérogénéité et méthodes", à la journée d'étude "L'enseignement de l'arabe en France: vu de tous les points de vue" le 2 février 2013.
Très cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBVXpGejV2NU1va1U/edit?usp=sharing
Résumé de la communication de Nejmeddine Khalfallah faite à la journée d'étude "L'enseignement de l'arabe en France: vu de tous les points de vue"
Chers tous et toutes,
Vous trouverez ci-joint le résumé de la communication de Nejmeddine Khalfallah (Université de Lorraine, LIS) "Comment enseigner la langue de bois en arabe?" faite à la journée d'étude "L'enseignement de l'arabe en France: vu de tous les points de vue" le 2 février 2013.
Celles et ceux qui souhaitent contacter l'auteur pour obtenir plus d'éléments peuvent prendre contact avec lui par le biais de l'e-mail indiqué dans la communication.
Très cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBbTRsOURzdDRwUUk/edit?usp=sharing
Vous trouverez ci-joint le résumé de la communication de Nejmeddine Khalfallah (Université de Lorraine, LIS) "Comment enseigner la langue de bois en arabe?" faite à la journée d'étude "L'enseignement de l'arabe en France: vu de tous les points de vue" le 2 février 2013.
Celles et ceux qui souhaitent contacter l'auteur pour obtenir plus d'éléments peuvent prendre contact avec lui par le biais de l'e-mail indiqué dans la communication.
Très cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBbTRsOURzdDRwUUk/edit?usp=sharing
Miloud Gharrafi traduit en français la poésie de Ahmad Al-Shahawy
L'AFDA vous annonce la parution en français du recueil poétique (Une seule porte et des demeures) de Ahmad Al-Shahawy. Le livre est traduit et préfacé par notre collègue Mohamed Miloud Gharrafi.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBa24zY1l3T1hCZ28/edit?usp=sharing
vendredi 5 avril 2013
Communication de Marie Robache lors de la journée d'étude de l'AFDA
Bonjour à tous,
Vous trouverez ci-joint la communication de Marie Robache "Pluriglossie et pratique de la langue courante sur les théâtres d’opération : les spécificités de l’enseignement de l’arabe dans une grande école militaire" faite lors de la journée d'étude de l'AFDA "L'enseignement de l'arabe en France, vu de tous les points de vue" samedi 2 février 2013 à l'IUFM d'Aix-en-Provence.
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBYUE4UmYzc1VUQjg/edit?usp=sharing
Vous trouverez ci-joint la communication de Marie Robache "Pluriglossie et pratique de la langue courante sur les théâtres d’opération : les spécificités de l’enseignement de l’arabe dans une grande école militaire" faite lors de la journée d'étude de l'AFDA "L'enseignement de l'arabe en France, vu de tous les points de vue" samedi 2 février 2013 à l'IUFM d'Aix-en-Provence.
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBYUE4UmYzc1VUQjg/edit?usp=sharing
Communication de Pierre-Louis Reymond lors de la journée d'étude de l'AFDA
Bonjour à tous,
Vous trouverez ci-joint la communication de Pierre-Louis Reymond "Avoir reçu l’enseignement de l’arabe dans un établissement français de l’étranger : témoignage d’une expérience linguistique et culturelle" faite lors de la journée d'étude de l'AFDA "L'enseignement de l'arabe en France, vu de tous les points de vue" samedi 2 février 2013 à l'IUFM d'Aix-en-Provence.
Pour prendre contact avec l'auteur, vous pouvez envoyer un mail à l'AFDA.
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBZGl2MFkxVXd0WUU/edit?usp=sharing
Vous trouverez ci-joint la communication de Pierre-Louis Reymond "Avoir reçu l’enseignement de l’arabe dans un établissement français de l’étranger : témoignage d’une expérience linguistique et culturelle" faite lors de la journée d'étude de l'AFDA "L'enseignement de l'arabe en France, vu de tous les points de vue" samedi 2 février 2013 à l'IUFM d'Aix-en-Provence.
Pour prendre contact avec l'auteur, vous pouvez envoyer un mail à l'AFDA.
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBZGl2MFkxVXd0WUU/edit?usp=sharing
Communication de Sylvie Chraïbi lors de la journée d'étude de l'AFDA
Bonjour à tous,
Vous trouverez ci-joint la communication de Sylvie Chraïbi "L’arabe en CPGE (Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles) : de la motivation des étudiants aux exigences des concours" faite lors de la journée d'étude de l'AFDA "L'enseignement de l'arabe en France, vu de tous les points de vue" samedi 2 février 2013 à l'IUFM d'Aix-en-Provence.
Pour prendre contact avec l'auteur, vous pouvez envoyer un mail à l'AFDA.
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBVnBXYXpqUEV0WEE/edit?usp=sharing
Vous trouverez ci-joint la communication de Sylvie Chraïbi "L’arabe en CPGE (Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles) : de la motivation des étudiants aux exigences des concours" faite lors de la journée d'étude de l'AFDA "L'enseignement de l'arabe en France, vu de tous les points de vue" samedi 2 février 2013 à l'IUFM d'Aix-en-Provence.
Pour prendre contact avec l'auteur, vous pouvez envoyer un mail à l'AFDA.
Cordialement,
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA.
https://docs.google.com/file/d/0BzBazmYrYBKBVnBXYXpqUEV0WEE/edit?usp=sharing
mardi 2 avril 2013
Le dossier "Parler l'arabe c'est la classe" est paru dans le numéro d'avril du Courrier de l'Atlas
Ce dossier est un état des lieux très intéressant sur la situation de l'arabe dans les différentes générations issues de l'immigration maghrébine, sur le bilinguisme français-arabe, et sur la situation de la langue arabe dans les secteurs public et privé en France. Bonne lecture!
Marie Robache,
Vice-présidente de l'AFDA
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